La ménopause est un phénomène naturelle résultant de l’épuisement naturel du stock de cellules reproductive féminine appelées follicules.
En effet, chaque femme dispose d’un capital de follicules ovariens à sa naissance qui lui est propre.
La ménopause se traduit par l’arrêt des cycles menstruels et conduit à la disparition progressive des règles.
Comme cette transformation s'étale sur plusieurs années, on considère qu’une femme est ménopausée quand elle n’a plus de règle depuis une année.
Les hormones du cycle menstruel assurent une communication à double sens entre l’hypothalamus et l’hypophyse, centres intégrateurs/ régulateurs situés dans le cerveau et les ovaires.
C'est ce qui permet de déclencher les différentes phases du cycle menstruel, schématisées ci-dessous.
Cependant, à l’approche de la ménopause, l’équilibre hormonal devient plus délicat.
Les ovaires deviennent moins sensibles à l’action de l’hormone folliculo-stimulante (FSH).
Ils commencent à avoir épuisé leur réserve folliculaire (a.) et les corps jaunes de moins bonne qualité sécrètent de moins en moins de progestérone, ce qui peut donner des cycles irréguliers et des règles peu abondants appelés ménorragies.
Les cycles se raccourcissent et l’ovulation (b.) survient de façon irrégulière.
Puis, le nombre de follicules encore disponibles atteint un seuil minimal bloquant pour le déroulement du cycle. Trop peu nombreux, ils ne produisent plus assez d’œstrogènes.
Il n’y a donc plus d’ovulation, plus de transformation du follicule en corps jaune et, par conséquent, plus de fabrication de progestérone.
Comme l’endomètre ne se prépare plus à accueillir un ovule fécondé, il n’existe plus de tissus à évacuer par le biais des règles. (c.)
De façon générale la diminution globale d’œstrogène provoque, vieillissement de la peau, modification des seins, des cheveux, de la silhouette, cependant d'autres incommodités peuvent être également ressenties .
Celles-ci s’expliquent par les fluctuations considérables du taux d’œstrogènes globale sanguins.
D'abord, les taux d’œstrogènes s’écroulent par:
Mais aussi à cause de:
Cela engendre une circulation difficile des fluides, piégeant ainsi les hormones dans le système gynécologique.
On parle alors de climatère ou de carence œstrogénique.
Ce phénomène peut provoquer :
Par moment, Il y a un retour à la circulation normale et du sang chargé en hormones s’échappe du système gynécologique.
Le taux d’œstrogène maintenant très hauts peut provoquer :
Les hormones ovariennes ont de nombreux "tissus cibles" , dont :
La glande thyroïde est une glande située dans le cou et qui a pour rôle le contrôle de la vitesse des fonctions chimiques de l’organisme.
L’excitation ponctuel de la thyroïde par les œstrogènes circulants, déclenche la sécrétion des hormones thyroïdiennes (T3 &T4) qui influencent le métabolisme de base de deux façons :
Elles affectent de nombreuses fonctions vitales de l’organisme, comme la fréquence cardiaque, la vitesse à laquelle les calories sont brûlées, l’intégrité de la peau, la croissance, la production de chaleur et la digestion...
La ménopause peut aussi survenir brutalement, chirurgicalement à la suite d’une ablation des ovaires ou médicalement à la suite d’une radiothérapie ou chimiothérapie, par exemple.
Comme cela enlève ou détruit les follicules, le processus est dans ce cas définitif.
L’étiopathie, traite d’abord et en priorité les troubles de la circulation sanguine du petit bassin par le biais de massages ciblés.
Ainsi les hormones ne se trouve plus bloquées par les congestions et circulent plus librement dans l’ensemble des systèmes.
En normalisant la circulation du petit bassin, on permet de réduire les fluctuations du taux d' hormones ovariennes globales sanguin, réduisant ainsi l'ensemble des effets indésirables présentés.
Fini les sautes d’humeurs et autres bouffées de chaleur grâce à l'étiopathie...